Quand on ne voit pas tout, on ne voit rien.
Consommer une pomme française au printemps a un impact 40% supérieur à celui d’une pomme venue du chili. L'énergie nécessaire à sa réfrigération rend une pomme française consommée au printemps, au global, beaucoup plus impactante qu'une pomme de saison importée de l’hémisphère sud.
Quand on ne voit pas tout, on ne voit rien.